« La vallée de la Cère » week-end rando, les 8 & 9 oct. 2022, à Thiézac (15) – jour 1 – (20 photos)

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Un week-end entier dans les Monts du Cantal, avec nuits en chalets, cette fois pour effectuer le tour de la Vallée de la Cère.
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Jour 1 : Après le départ de la station du Col du Lioran, puis passage à la Font d’Alagnon, nous montons vers le Col de Rombière et jusqu’à une certaine altitude, nous progressons dans l’étage forestier.
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Les coupes de terrain, qu’elles soient d’origine naturelle (ravinement ou effondrement) ou humaine (travaux) sont toujours un lieu intéressant de vision sur la composition du sous-sol. Ici l’on voit bien une colonne courbe de matière différente du sol environnant.
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Nous passons au refuge de Meige Costes.
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Sur la pente du Puy Bataillouse, petite pause pour un bon coup d’œil sur le vallée de la Font d’Alagnon, que nous allons bientôt quitter.
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Bien après le Col de Rombière, visible là-bas au fond, nous progressons en direction du Puy Griou.
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A gauche, le Puy Griou et en contrebas le Griounou, lesquels surplombent de ce côté Nord la vallée de la Jordanne.
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Une pierre, sur le chemin, dans les petits creux de laquelle se nichent des cailloux…
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Nous sommes revenus dans l’étage forestier, dans lequel nous passerons beaucoup de temps ce premier jour, pour aller vers le Col du Pertus.
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D’un beau blanc et brillant, ce champignon à pied pousse directement sur le tronc d’un bouleau. Pas ordinaire.
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Il se dit que la forme coudée des arbres à leur base viendrait de la pression de la neige alors qu’ils étaient encore jeunes.
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Un autre style de champignon sur tronc.
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Nous approchons du Col du Pertus et devant nous se dresse, bien visible désormais, la silhouette de l’Élancèze (dont le sommet double n’est pas visible sous cet angle) dont nous allons visiter le sommet.
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Près du Col du Pertus, on prend le temps d’une photo avant que le temps ne se dégrade. Au fond à droite, le Puy Mary.
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Un moment sur l’un des deux sommets de l’Élancèze. On en redescendra sans s’attarder car le temps est en train de changer d’une façon un peu inquiétante…
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Redescente de l’Élancèze. maintenant, c’est sûr : le temps se gâte ! Quelques grondements de tonnerre nous l’indiquent clairement.
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On n’a pas le choix : il faut avancer, sous la pluie d’orage et avec les éclairs et grondements assez proches : ici, sur ce chemin de crête, aucun abri, aucun refuge. Sous cet angle, on voit bien, au fond, les deux sommets de l’Élancèze.
Après une longue progression obligée sur les hauteurs, on a pu commencer à redescendre vers l’étage forestier. Une vache -qui occupait toute la largeur du chemin- nous regarde passer après en être sortie.
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Après être passés près des refuges du Clou et de Trielle, nous reprenons la descente. L’orage s’est éloigné, la pluie s’est presque arrêtée et dans la vallée le surcroît brusque d’humidité se déploie en vapeur.
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En approche du village de Thiézac, nous passons près de la chapelle de Notre-Dame de Consolation.
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Nous entrons dans le village de Thiézac, dans lequel se trouve notre hébergement.
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