« Crozet », journée-rando à St-Pierre-Laval, dim. 11 déc. 2022 (48 photos)

Auteur : Luc Catégorie : Randonnées
Fenêtres sur une ancienne façade, à Crozet (42)

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Départ du cimetière de Saint-Pierre-Laval, dans l’ambiance très contrastée bleue (ombre) / jaune (soleil) d’un beau matin d’hiver, froid.

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Nous passons près d’un étang alimenté un cours d’eau dit Ruisseau de Montvernay.

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Géométrie hivernale.

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Il y a ici de beaux chemins, magnifiés aujourd’hui par le givre et une fine couche de neige, brillants sous le soleil.

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Comprenne qui pourra…

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Là-bas, au fond, c’est la plaine de la Loire.

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Nous arrivons au Crozet et en voyons d’abord la Chapelle des Vicomtes de Mâcon. Désaffectée depuis 1865, elle s’est effondrée en 1978. Depuis, un groupe de passionnés tente d’en assurer la sauvegarde.

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Maison dite « Maison Dauphin ».

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De l’autre côté de la rue…

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Une fenêtre de la Maison Dauphin.

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La « Maison Papon »

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Le musée lui-même bénéficie d’un bel écrin.

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Un donjon, près duquel fut construite la nouvelle église, domine la vallée.

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L’entrée de la Maison Papon, dans une courette.

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La place du village est en pente.

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Près de la mairie, une maison dit « la Cordouannerie ».
Grâce à ce panneau d’information, on comprend mieux l’usage initial du bâtiment ci-dessus, mais aussi qu’il a fait l’objet de transformations importantes dans sa partie supérieure jusqu’à une époque récente, puisqu’elles apparaissent dans les photographies, c’est à dire au cours du siècle et demi écoulé.
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La mairie.

Dans la construction locale se mélangent la pierre, sous forme de moellons, la brique et le pisé (ou torchis ? inséré dans un colombage ou placé en surface comme enduit protecteur), parfois mêlés au sein d’un même édifice, sans doute témoins de périodes différentes ou de rénovations.
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Le village était entouré d’une enceinte défensive. Dans ces cas-là, il y fallait des portes d’entrée. Celle du côté Sud, a résisté à l’épreuve du temps et aux vicissitudes de l’Histoire. On la nomme désormais La Grande Porte.
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Après notre traversée du village en zigzags -pour mieux le visiter- nous avons repris notre parcours en pleine nature.

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La mare est gelée, mais les vaches assoiffées viennent boire l’eau glacée, là où leurs sabots ont cassé la glace.

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Beau chemin encore…

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Beau chemin toujours…

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A cette époque, les mélèzes, au feuillage caduque, sont en majesté : avant de tomber, leurs aiguilles, aussi, deviennent dorées.

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Des passants divers et variés ont laissées leurs empreintes…

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Ceci pourrait être un intéressant sujet de dissertation : Raconte l’histoire de cette petite cabane au bord de la route !
(Bien sûr, j’ai ma petite idée ;-))
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En milieu de petite route, la neige reste fixée par les brindilles.

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Marie n’oublie pas [de prélever le nécessaire pour] la décoration de sa table de Noël.

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Les ajoncs en fleurs sont maintenant complétement givrés.

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Une petite carrière : ici, c’est au bord-même du chemin que l’on trouve le matériaux idéal pour son revêtement : c’est… gore !

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Passant sur une crête, nous voyons Saint-Pierre-Laval dans le fond et, sur la crête qui domine le village, Saint-Martin-d’Estréaux.
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Près du village, un édicule abrite la source Saint-Pierre.

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Ce serait donc à Saint-Martin que l’on doit Saint-Pierre…

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