« Puy des Gouttes », journée-rando à Volvic, dim. 19 déc. 2021 (26 photos)

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9h00 du mat’, on quitte la gare de Volvic. Il gèle, mais pas autant qu’en bas dans la plaine, et l’on est équipés et puis, si tout va bien, on va être au soleil toute la journée…
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Là, on aime les topiaires ! Cet arbre représente à lui seul une belle quantité de travail effectué régulièrement.
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Pour monter dans le volcan de la Nugère, la pente est  »sensible ».
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Arrivés dans le cratère, après une suite de raidillons alternés de faux-plats, on arrive dans un autre monde ! ! !
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Le chemin qui en ressort passe dans un bref tunnel de branchages givrés… magnifique !
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Enfin, après un long parcours, on arrive au Puy des Gouttes, enfin presque. Mais de là, on retrouve une vue étendue et d’abord sur le Puy de Lemptegy, tout proche.
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Encore un raidillon et l’on sera au sommet du Puy des Gouttes, lieu prévu pour le déjeuner.
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De là-haut la vue est, pour le moins… intéressante !
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On est ici côté sud : la neige a fondu. Reste seulement, comme un œuf dans le nid, une mini plaque de neige gelée.

Grâce à la douceur de l’air (environ 11° C) on a pu faire une pause prolongée, avec sieste, ce qui exceptionnel en hiver ! Maintenant, il est temps de repartir. Mais on doit presque se forcer pour quitter ce lieu si agréable.
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Une petite photo avant de redescendre…
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On retrouve l’étage où prospère la hêtraie, avec en lisière des arbres qui, à moindre concurrence, ont pu développer des branches dans toutes les directions.
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Là, le sol toujours à l’ombre, a fortement gelé et s’est élevé autour des pierres.
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Au loin nous voyons la mer de brouillard, que nous avons traversée le matin en venant et qui ne se dissipera pas de la journée, maintenant en plaine une température proche du zéro et une visibilité réduite.
Les points hauts se détachent comme des îles, ce qui me rappelle un formidable livre : « Les îles d’Auvergne« .

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Par endroit aussi, ce sont de petits massifs de brumes qui s’élèvent, comme si quelque-chose, en-dessous générait un supplément de vapeur d’eau.
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Morceau de glace trouvé sur le chemin. Mais comment est-il arrivé jusque-là ?? Je prolonge, par cette photo, radicalement mais de façon virtuelle, la durée de vie et la notoriété de cet objet très éphémère.
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Salade de sauvages au givre.
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Bientôt 16h00 et en-bas, rien n’a changé… Nous songeons avec pitié et amusement à tous ceux qui, ce jour-là, n’aurons rien vu d’autre que le gris, froid.
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En début et fin de parcours, nous avons traversées des zones de cheire. Des espaces où il est difficile de marcher, voire dangereux car on risque constamment de s’y tordre les pieds. Les chemins sont alors d’un grand confort.
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Peu avant d’arriver, notre chemin en croise un autre, enfin passe dessous… Ce petit pont étroit fait de suite penser au génie ferroviaire du XIXe siècle… Serait-il le vestige d’une ligne de tacot (petit train sur voie étroite, à desserte locale, et qui a disparu progressivement entre les deux guerres mondiales) ??
Recherche faite a posteriori, il s’agit bien de celà : la ligne Riom – (Gare de) Volvic passait là ! Des passionnés on recueillie et transmise de l’info à ce sujet dans ce document dont est extraite cette photo : CHEMIN DES BATIGNOLLES

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